Correspondance
- Voir Gustave Ador, Lettres à sa fille Germaine et à son gendre Frédéric Barbey, 1889-1928 :
- « 16 ans – l’âge de l’instruction religieuse – Belle année entre toutes ! où le coeur s’ouvre, se développe où les résolutions se forment et se nourissent où Dieu par sa bonté mettra sur toi une forte empreinte qui t’accompagnera toute ta vie – où tu apprendras à le mieux connaître pour [le] mieux aimer et le mieux servir ce bon Dieu pour lequel tu dois avoir déjà tant de reconnaissance pour toutes les grâces qu’Il t’a accordées pour toutes les bénédictions dont Il t’a enveloppée –
Que Dieu te donne, ma chère enfant, d’apprendre que c’est à Son service qu’on trouve les joies les plus pures sans que ce service qui doit passer avant tout et qui doit être la principale chose de la vie, exclue les joies, les devoirs et le bonheur de la vie de famille . »- lettre à Germaine, 4 avril 1894
- « Que Dieu te dirige et te bénisse ma chérie et qu’Il fasse tourner la décision que tu vas prendre pour ton plus grand et vrai bonheur ! »
- lettre à Germaine, 10 mai 1900
- « Il faut se rappeler que c’est Dieu qui dispose et s’en remettre avec confiance entre ses mains […] »
- lettre à Germaine, 15 mars 1922
- « 16 ans – l’âge de l’instruction religieuse – Belle année entre toutes ! où le coeur s’ouvre, se développe où les résolutions se forment et se nourissent où Dieu par sa bonté mettra sur toi une forte empreinte qui t’accompagnera toute ta vie – où tu apprendras à le mieux connaître pour [le] mieux aimer et le mieux servir ce bon Dieu pour lequel tu dois avoir déjà tant de reconnaissance pour toutes les grâces qu’Il t’a accordées pour toutes les bénédictions dont Il t’a enveloppée –
- Voir aussi Un homme d’Etat suisse, où Frédéric BARBEY cite de nombreux extraits des lettres de son beau-père.
- Voir Daniel BARBEY, « Le patriarche et le ‘Pater familias’ », 58 ans d’engagement, pages 47-87,
notamment pages 61-87 : « Extraits de lettres de Gustave Ador ».
Presse écrite
- Voir le Journal de Genève.
- « Les Radicaux », 20 février 1876.
Mémorial du Grand Conseil
- Voir Charles LYON-CAEN, Notice, pages 35-36, qui cite Ador :
- « inter arma caritas, devise de l’œuvre de la Croix-Rouge qui repose sur ce qu’il y a de plus pur, de plus élevé, de plus noble dans le cœur de l’humanité, les sentiments de pitié, de charité, d’amour du prochain, de compassion pour toutes les souffrances ».
NB : les propos ou discours de Gustave Ador reproduits intégralement dans la presse sont mentionnés dans les Publications